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Tag dark sur Happy Pills EmptySujet: cool jerk (attila)
Attila Kasteev

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Rechercher dans: Hall of fame   Tag dark sur Happy Pills EmptySujet: cool jerk (attila)    Tag dark sur Happy Pills EmptyVen 24 Fév - 21:02


Tag dark sur Happy Pills 1487954877053100300
Regrets, I've had a few; But then again, too few to mention. I did what I had to do And saw it through without exemption. I planned each charted course; Each careful step along the byway, But more much more than this, I did it my way.

Je m'appelle Attila Kasteev, mes amis m'appellent Robocop. J'ai 30 ans, né un 12 juillet et je suis le directeur du casino The Orchid et également chanteur de jazz à ce dernier. Je suis marié depuis sept ans maintenant. Je suis doté d'un bras bionique, la classe, je sais, & d'une tâche de naissance qui me fait une sacrée mèche blanche, mais comme c'est classe aussi, je laisse.

effet de la pilule // son endurance a été décuplé, c'est-à-dire qu'il se fatigue beaucoup moins que la moyenne et peut rester éveiller plusieurs jours de suite sans en sentir une grande fatigue par la suite. il peut parcourir de nombreux kilomètres en courant à une allure correcte et bien d'autres activités physiques. En somme, il vous aurait battu à la course d'endurance au collège les doigts dans le nez.

CARACTERE // Dans ses sourires les plus carnassiers, on y voit que de la sincérité. De la joie et de la bonne humeur. Attila passe son temps à rire avec les autres, à faire des blagues parfois un peu mauvaises, parfois pas trop mal. C’est un bon vivant, un homme qui a beaucoup d’auto dérision et qui sait passer outre sa popularité et son compte en banque plein à craquer - on dit de lui que c’est le riche le plus modeste de New Haven. Bien différente de la réputation de son père, celle d’Attila repose sur toute son honnêteté et sa - presque - simplicité.
Généreux, agréable, toujours prêt à servir mesdames et messieurs, on ne cesse de le remercier pour sa bonté ! Le coeur sur la main, il l’a, même si c’est parfois maladroit et difficile à concevoir. Il trouvera toujours de la beauté en autrui, même dans les recoins les plus sombres et malfamés.

C’est toujours avec classe qu’il laisse parler son extravagance, son enthousiasme, sa vivacité et sa joie de vivre. Il est plein de courage et de bonne volonté. Mais que diable ! Serait-ce l’homme parfait ?

Car méfiez-vous toujours d’un homme en smoking.

Attila ne se cache pas derrière un masque comme vous pourrez vous dire en lisant la suite de cette description. Il ne mime pas, ou très peu. Il est véritablement bon ou tout du moins il se laisse convaincre qu’une partie de lui l’est. En vérité, agir ainsi est quelque chose de naturel mais on ne pourra pas nier leur facticité.
La vérité, c’est que le jeune Kasteev est un tyran. Un tyran et un avare. Derrière ses sourires enjoliveurs qui font tomber ces dames, il cherche toujours l’opportunité derrière chaque relation - pour soutirer un peu plus d’argent, des informations pouvant le faire monter encore plus vers le haut et c’est à se demander s’il ne souhaiterait pas s’élever au-dessus des Hommes ?

Alors il peut paraître exigeant et incroyablement cruel, demandant à ceux qui sont sous ses ordres parfois l’impossible jusqu’à en mourir de fatigue. Il est perfectionniste et son air si doux va soudainement vous paraître si grave et inquiétant. Il ne salira jamais la réputation de sa famille et c’est bien là tout l’enjeu de sa démarche sociable.
Et l’épicentre de tous ses problèmes.

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HISTOIRE // Dans le fond du garage de la maison familiale, à l’abri du lourd soleil d’août, Attila fouille dans les vieux cartons d’outils. Le cliquetis des objets en métal est incessant mais le voisinage ne peut jamais rien dire : ce sont les Kasteev. Ce sont les Kasteev et ils sont habitués à ce que le fils, adolescent et intrépide, passe son temps à faire du brouhaha. La réputation du garçon n’est pas à refaire : bourré de vie, d’insouciance et parfois d’arrogance. Mais c’est un bon gamin, dirait le vieux d’en face. Il est toujours là pour sa famille ajoute-t-on, même pour son vieux père dépressif !
On ne peut pas dire que The Orchid est au paroxysme de sa popularité, bien en contraire. Depuis des années, les difficultés financières s’enchaînent tandis que le mal qui ronge le directeur ne cesse de monter en crescendo.

Le casino est menacé de démolition, les clients se font rares et on ne sait plus quoi faire pour raviver la flamme. Chez les Kasteev, c’est la source des conversations et surtout, des problèmes. Attila, du haut de ses dix-huit ans, tente de sauver cette vieille bâtisse si chère aux yeux de sa famille. Il revend des biens, parfois réussit à dealer de la drogue à l’abri des forces de police. Mais sa dernière petite lubie, ce sont les jeux d’argent. Ou plutôt les paris sur internet.

« Bon. » Dit-il en brandissant son téléphone en fixant la caméra frontale. « J’ai reçu un pari un peu particulier, » il change de carton et continue ses recherches dans le suivant à l’aide de sa seule main de libre, « mais à la clef c’est les millions les gars alors… alors j’vais l’faire ‘voyez. Il a promis d’effacer toutes les dettes après ça. The Orchid sera sauvé ! » Attila montre toutes ses dents tandis que les commentaires affluent sous la vidéo. D’excitation, de peur, de désarroi. Un peu de tout.

Le garçon pose son téléphone sur le plan de travail le plus proche. On peut le voir à demi traîner une chaise en plein milieu de la pièce, du gros scotch ainsi qu’une tronçonneuse. Il attache cette dernière sur la chaise le plus fermement possible avant de revenir vers la caméra. Il transpire, ses sourires sont inquiets et sa respiration haletante. « Si l’un de vous peut appeler une ambulance à mon domicile ça me sauverait la vie, littéralement. Sur ce… » Il fait un geste de main avant d’aller tirer sur la cordelette de la tronçonneuse. Le monteur gronde une fois, deux fois, avant de se lancer. L’odeur de l’essence se fait tout de suite sentir. Il souffle. Se met à genoux. Son bras est au-dessus des chaînes endiablées.

Et puis la dernière chose qu’il pu voir ce jour-là, c’est son bras se déchirer.
Mais The Orchid était sauvé. Alors qu'importe.

COUCOU moi ça fait longtemps que je stalke. j'ai 21 ans, j'ai un sérieux problème d'addiction aux bubble tea (banane ou taro svp) et aux chips. je suis une folle aux chats, j'aime le rose et le bleu, les trucs pastels, cute et fun. pas comme cette fiche quoi mdr #dark
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